Introduction Jean-Louis DebrĂ©, nĂ© le 30 septembre 1944 Ă Toulouse, est un homme d'Ătat français. Ministre de l'IntĂ©rieur de 1995 Ă 1997 et prĂ©sident de l'AssemblĂ©e nationale de 2002 Ă 2007, il prĂ©side le Conseil constitutionnel de 2007 Ă 2016 puis le Conseil supĂ©rieur des archives depuis cette derniĂšre annĂ©e. Situation personnelle Origines et formation Jean-Louis DebrĂ© est le fils de Michel DebrĂ©, ancien Premier ministre. Il a trois frĂšres Vincent DebrĂ©, homme d'affaires nĂ© en 1939, François DebrĂ©, journaliste 1942-2020 et Bernard DebrĂ©, son jumeau, mĂ©decin et homme politique 1944-2020. Il est aussi le petit-fils du pĂ©diatre Robert DebrĂ© et, du cĂŽtĂ© de sa mĂšre, de l'architecte Charles Lemaresquier. Il est Ă©galement le neveu du peintre Olivier DebrĂ©. Enfin, il est l'arriĂšre-petit-fils du grand rabbin Simon DebrĂ© 1854-1939. Avec son Ă©pouse, Anne-Marie Engel, morte le 21 juillet 2007, il a eu trois enfants Charles-Emmanuel DebrĂ© directeur business Grands comptes de Bouygues TĂ©lĂ©com, Guillaume DebrĂ© journaliste et Marie-Victoire DebrĂ© comĂ©dienne. Il fut Ă©lĂšve Ă l'Ă©cole Hattemer. Adolescent, il souffre d'un tassement de la colonne vertĂ©brale et, marginalisĂ©, ne prĂ©sente pas le baccalaurĂ©at. Plus tard, l'ancien membre de cabinet de Michel DebrĂ© et ami de la famille Pierre Mazeaud lui propose de s'inscrire pour passer une capacitĂ© en droit Ă PanthĂ©on-Assas. C'est ainsi qu'il obtient une licence en droit qui lui permettra de poursuivre sa carriĂšre. LicenciĂ© en droit, titulaire d'un diplĂŽme dâĂ©tudes supĂ©rieures de droit public et d'un diplĂŽme dâĂ©tudes supĂ©rieures de sciences politiques, il est docteur en droit public avec une thĂšse consacrĂ©e aux IdĂ©es constitutionnelles du gĂ©nĂ©ral de Gaulle », ancien Ă©lĂšve de lâInstitut d'Ă©tudes politiques de Paris dont il n'est cependant pas diplĂŽmĂ©. CarriĂšre de magistrat De 1971 Ă 1975, Jean-Louis DebrĂ© est assistant Ă la facultĂ© de droit de Paris. De 1973 Ă 1974, il est conseiller technique au cabinet du ministre de l'Agriculture et du DĂ©veloppement rural Jacques Chirac, puis il est nommĂ© la mĂȘme annĂ©e au cabinet du ministre de l'IntĂ©rieur Jacques Chirac. Proche du futur prĂ©sident de la RĂ©publique, Jean-Louis DebrĂ© devient son chargĂ© de mission 1974-1976 lorsque celui-ci est nommĂ© Premier ministre, aprĂšs avoir fait campagne pour Jacques Chaban-Delmas alors que Jacques Chirac soutenait ValĂ©ry Giscard d'Estaing. De 1976 Ă 1978, il est substitut du procureur de la RĂ©publique prĂšs le tribunal de grande instance d'Ăvry-Corbeil, puis est dĂ©tachĂ©, en 1978, pour une annĂ©e, au ministĂšre de la Justice, en qualitĂ© de magistrat Ă l'administration centrale de la justice. Il est ensuite, de 1978 Ă 1979, chef de cabinet de Maurice Papon, ministre du Budget. De 1979 Ă 1986, Jean-Louis DebrĂ© est magistrat, nommĂ© dans les fonctions de juge d'instruction. Il est chargĂ© des affaires de crime organisĂ© et de grand banditisme, notamment de la proxĂ©nĂšte Carmen Vallet, du coiffeur receleur Maurice Joffo ou de l'affaire de contre-espionnage Virgil Tanase. Il traite aussi de terrorisme et d'une affaire autour du terroriste Carlos. Il est Ă©lu pour la premiĂšre fois dĂ©putĂ© aux Ă©lections lĂ©gislatives de 1986, Ă la proportionnelle, dans l'Eure. Ă partir de 1988, il est Ă©lu au scrutin majoritaire dans la 1re circonscription de ce mĂȘme dĂ©partement. Il est conseiller municipal d'Ăvreux entre 1989 et 1995. En 1995, il est tĂȘte de liste dans le 18e arrondissement, et obtient un mandat de conseiller de Paris. Jean Tiberi, le nouveau maire de Paris, le nomme comme adjoint. En 1990, il ne vote pas la loi Gayssot au SĂ©nat[rĂ©f. nĂ©cessaire]. Le 9 dĂ©cembre 2005, le prĂ©sident de la RĂ©publique, jacques Chirac, le chargera, en tant que prĂ©sident de lâAssemblĂ©e nationale, dâune mission pluraliste pour Ă©valuer lâaction du Parlement dans les domaines de la mĂ©moire et de lâhistoire ». Parcours politique DĂ©buts Jean-Louis DebrĂ© adhĂšre au Rassemblement pour la RĂ©publique RPR lors de sa fondation par Jacques Chirac, en 1976. Il entre dans lâopposition en 1981, Ă la suite de la victoire de François Mitterrand Ă lâĂ©lection prĂ©sidentielle ; en 2021, il rĂ©vĂ©lera quâil lui est arrivĂ© » de voter pour le candidat socialiste. Ministre de l'IntĂ©rieur AprĂšs la victoire de Jacques Chirac, dont il Ă©tait l'un des porte-paroles lors de la campagne pour l'Ă©lection prĂ©sidentielle, Jean-Louis DebrĂ© est nommĂ© ministre de l'IntĂ©rieur dans le gouvernement d'Alain JuppĂ©, le 18 mai 1995. Il est reconduit dans ses fonctions lors de la formation du gouvernement JuppĂ© II. Dans le cadre de ses attributions ministĂ©rielles, il est confrontĂ© en 1995 Ă une sĂ©rie d'attentats islamistes perpĂ©trĂ©s sur le territoire français par le Groupe islamique armĂ© GIA. En janvier 1996, il est critiquĂ©, pour avoir laissĂ© s'organiser la confĂ©rence de presse des militants clandestins corses armĂ©s Ă Tralunca. Il ordonne l'expulsion, le 23 aoĂ»t 1996, de quelque 300 Ă©trangers en situation irrĂ©guliĂšre occupant l'Ă©glise Saint-Bernard Ă Paris, non sans avoir dĂ©clarĂ© auparavant qu'il agirait avec humanitĂ© et cĆur »,. MalgrĂ© les dĂ©clarations du gouvernement, la plupart de ces Ă©trangers ne sont pas expulsĂ©s, ayant des attaches fortes en France, qui rendent complexe toute mesure d'Ă©loignement ». Des manifestations critiquant la politique du gouvernement JuppĂ©, durant lesquelles on scande des slogans rĂ©clamant l' abrogation des lois Pasqua-DebrĂ© », rassemblent des dizaines de milliers de personnes. Ministre de l'IntĂ©rieur, Jean-Louis DebrĂ© prĂ©sente en novembre 1996 un projet de loi portant diverses dispositions relatives Ă l'immigration », comportant entre autres les orientations suivantes intensifier le dispositif d'Ă©loignement des Ă©trangers en situation irrĂ©guliĂšre ; Ă©tendre les contrĂŽles d'identitĂ© sur les lieux de production et les chantiers ; permettre aux officiers de police, sous certaines conditions, de fouiller les vĂ©hicules. Dans la rĂ©alitĂ©, ces nouvelles dispositions n'entraĂźnent que peu de reconduites. Les Ă©lections lĂ©gislatives de 1997, qui conduisent Ă la victoire de la gauche plurielle, marquent toutefois son retour dans l'Eure. Son implantation se confirme en 2001, lorsqu'il devient maire d'Ăvreux en battant le sortant communiste Roland Plaisance, en fonction depuis 1977. Le 16 septembre 1997, quelques mois aprĂšs le dĂ©but de la troisiĂšme cohabitation, il est Ă©lu au second tour prĂ©sident du groupe RPR Ă l'AssemblĂ©e nationale par 81 voix contre 57 pour Franck Borotra. PrĂ©sident de l'AssemblĂ©e nationale Affichant une grande fidĂ©litĂ© Ă Jacques Chirac, il sâoppose rĂ©guliĂšrement Ă Nicolas Sarkozy. Estimant ĂȘtre trop diffĂ©rent du maire de Neuilly-sur-Seine, dont il dit notamment quâil n'aime pas l'Ătat ». Réélu dĂ©putĂ© de la 1re circonscription de l'Eure le 16 juin 2002, pour la XIIe lĂ©gislature, Jean-Louis DebrĂ© n'est pourtant pas nommĂ© ministre dans le gouvernement de Jean-Pierre Raffarin. Il brigue alors la prĂ©sidence de l'AssemblĂ©e nationale, Ă©galement convoitĂ©e par Ădouard Balladur, avec lequel Jean-Louis DebrĂ© entretient des relations rĂ©putĂ©es exĂ©crables. Lors du scrutin du 25 juin, l'ancien prĂ©sident du groupe RPR, formellement investi le jour-mĂȘme par le nouveau groupe UMP, domine le premier tour par 217 voix contre 163 pour l'ex-Premier ministre, qui se retire aussitĂŽt en la faveur de son adversaire principal, 140 pour la socialiste Paulette Guinchard-Kunstler et 21 pour la communiste Muguette Jacquaint. BĂ©nĂ©ficiant du retrait de Balladur, Jean-Louis DebrĂ© est Ă©lu prĂ©sident de l'AssemblĂ©e aprĂšs avoir recueilli, Ă l'issue du second tour, 342 voix contre 142 pour Guinchard-Kunstler et 21 pour Jacquaint. La victoire de DebrĂ© va jusqu'Ă surprendre son ami Jacques Chirac, qui lui avait conseillĂ© de renoncer Ă se prĂ©senter, persuadĂ© qu'il serait battu. Au perchoir, Jean-Louis DebrĂ© gagne la rĂ©putation d'un partisan rigoureux des droits de l'opposition », estimĂ© bien au-delĂ de son seul camp politique. PrĂ©sident du Conseil constitutionnel Le 23 fĂ©vrier 2007, Jacques Chirac le nomme prĂ©sident du Conseil constitutionnel en remplacement de Pierre Mazeaud, malgrĂ© la levĂ©e de boucliers que cela provoque[non pertinent], notamment dans sa famille politique, alors que Nicolas Sarkozy s'apprĂȘte Ă devenir prĂ©sident de la RĂ©publique. Il sort du devoir de rĂ©serve attachĂ© Ă sa fonction en Ă©mettant, en 2008, des rĂ©serves » sur le style prĂ©sidentiel de Nicolas Sarkozy et, en 2010, en jugeant inutile pour lui, pour la France » le procĂšs Ă venir de Jacques Chirac,. Il est le parrain de la promotion 2011-2012 de l'Ă©cole de formation professionnelle des barreaux de la cour d'appel de Paris, formant les futurs avocats parisiens, Il est Ă©galement le parrain de la promotion 2014-2015 de l'Ăcole des Avocats du Sud-est. Il est Ă©galement membre d'honneur de l'Observatoire du patrimoine religieux OPR, une association multiconfessionnelle qui Ćuvre Ă la prĂ©servation et au rayonnement du patrimoine cultuel français. Il est aussi le parrain de la promotion 2017-2018 de l'Ă©cole du centre Ouest des avocats. Son mandat de prĂ©sident du Conseil constitutionnel arrive Ă son terme le 4 mars 2016. Il est remplacĂ© par Laurent Fabius. Le lendemain, le 5 mars 2016, le ministĂšre de la Culture annonce sa nomination comme prĂ©sident du Conseil supĂ©rieur des archives succĂ©dant Ă l'historienne Georgette Elgey. Retraite Jean-Louis DebrĂ© fait paraĂźtre un journal en avril 2016, Ce que je ne pouvais pas dire, qui revient sur son exercice de neuf annĂ©es Ă la prĂ©sidence du Conseil constitutionnel. Son livre met en exergue ses rapports difficiles avec Nicolas Sarkozy, ses relations courtoises avec François Hollande ainsi que les travaux et l'Ă©volution d'une institution qui vit ses attributions sâaccroĂźtre avec la rĂ©forme constitutionnelle de 2008,. L'ouvrage rencontre un certain succĂšs en librairie. Un autre opus de souvenirs, Tu le raconteras plus tard, paraĂźt en 2017 Jean-Louis DebrĂ© le consacre Ă ses annĂ©es passĂ©es au ministĂšre de l'IntĂ©rieur et Ă la prĂ©sidence de l'AssemblĂ©e nationale. En septembre 2016, il devient chroniqueur Ă la radio et Ă la tĂ©lĂ©vision. Il est la mĂȘme annĂ©e le parrain de la promotion 2016-2017 du master fiscalitĂ© de l'entreprise de l'universitĂ© Paris-Dauphine. Il soutient Alain JuppĂ© pour la primaire prĂ©sidentielle des RĂ©publicains de 2016. Il confie ensuite Ă L'Opinion qu'il a dĂ©cidĂ© de voter pour le candidat En marche, Emmanuel Macron, Ă l'Ă©lection prĂ©sidentielle. Dans le contexte de la pandĂ©mie de Covid-19, il se voit confier par le gouvernement un rapport sur le potentiel report des Ă©lections rĂ©gionales et dĂ©partementales de 2021. Il remet son rapport le 13 novembre 2020, prĂ©conisant leur report en juin, les scrutins Ă©tant normalement prĂ©vus en mars,. Relations avec Jacques Chirac Jean-Louis DebrĂ© entretient une relation de grande confiance avec Jacques Chirac, de douze ans son aĂźnĂ©. Les deux hommes se sont rencontrĂ©s Ă l'aĂ©roport d'Orly en 1967, alors que Jean-Louis DebrĂ© accompagnait son pĂšre venu chercher le gĂ©nĂ©ral de Gaulle de retour du QuĂ©bec. Jean-Louis DebrĂ© devient conseiller technique de Jacques Chirac en 1973, lorsque celui-ci est ministre de l'Agriculture. En 1974, il lui remet sa dĂ©mission lorsque Jacques Chirac dĂ©cide de soutenir ValĂ©ry Giscard d'Estaing contre Jacques Chaban-Delmas dans la course Ă la prĂ©sidentielle, car il soutient, comme son pĂšre Michel DebrĂ©, le candidat gaulliste. Il rĂ©intĂšgre cependant le cabinet de Jacques Chirac Ă Matignon aprĂšs la victoire de ValĂ©ry Giscard d'Estaing, jusqu'Ă la dĂ©mission du Premier ministre le 25 aoĂ»t 1976. Jean-Louis DebrĂ© se lance Ă nouveau en politique en 1986 et recommence Ă voir Jacques Chirac, surtout lorsque celui-ci traverse une mauvaise passe aprĂšs son deuxiĂšme Ă©chec Ă l'Ă©lection prĂ©sidentielle, en 1988. Puis Jacques Chirac, en 1993, fait appel Ă lui aprĂšs la victoire commune du RPR et UDF aux lĂ©gislatives, qui annonce la deuxiĂšme cohabitation. Il lui demande de tenir les rĂȘnes du parti pour s'assurer de sa fidĂ©litĂ©. Jacques Chirac, qui souhaite toujours devenir prĂ©sident de la RĂ©publique, se mĂ©fie des ambitions de celui qui va devenir Premier ministre de François Mitterrand Ădouard Balladur. Jean-Louis DebrĂ© devient secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral adjoint, visite les cellules RPR du pays en 1993 et 1994, et attaque publiquement les personnalitĂ©s politiques qui, dans l'affrontement des deux rivaux de droite lors de la campagne prĂ©sidentielle de 1995, prennent le parti de Balladur. Il est durement critiquĂ© par les partisans du Premier ministre et par la presse. Son frĂšre jumeau Bernard DebrĂ© soutient Ădouard Balladur. AprĂšs la victoire de Jacques Chirac le 17 mai 1995, Jean-Louis DebrĂ© est nommĂ© ministre de l'IntĂ©rieur. Il continue Ă voir directement et rĂ©guliĂšrement Jacques Chirac, sans passer par le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de lâĂlysĂ©e Dominique de Villepin ou son Premier ministre Alain JuppĂ©, au grand dam de ces derniers. MalgrĂ© leur grande proximitĂ©, il persiste Ă vouvoyer le prĂ©sident de la RĂ©publique et Ă l'appeler Monsieur ». AprĂšs la dissolution de l'AssemblĂ©e nationale en 1997, Jean-Louis DebrĂ© se prĂ©sente pour devenir prĂ©sident du groupe RPR et essayer de sauvegarder l'unitĂ© des dĂ©putĂ©s autour du prĂ©sident de la RĂ©publique. Il est Ă©lu Ă la surprise gĂ©nĂ©rale. Comme en 2002, lorsqu'il remporte l'Ă©lection pour la prĂ©sidence de l'AssemblĂ©e nationale, contre l'avis de Jacques Chirac qui pensait que Jean-Louis DebrĂ© n'avait aucune chance face Ă l'autre candidat, Ădouard Balladur,. Jean-Louis DebrĂ© a Ă©galement dĂ» Ă©carter prĂ©alablement Alain JuppĂ© de la course au Perchoir ». Il s'oppose violemment, Ă la mĂȘme Ă©poque, Ă la nomination du centriste Jean-Pierre Raffarin Ă Matignon, sans succĂšs. Sur tous ces sujets, il s'Ă©mancipe de Jacques Chirac. Il finit par faire oublier sa mauvaise image hĂ©ritĂ©e de la bataille prĂ©sidentielle de 1995 et de l'affaire des sans-papiers rĂ©fugiĂ©s dans l'Ă©glise Saint-Bernard. De Jacques Chirac, Jean-Louis DebrĂ© se targuait d'ĂȘtre l'un de ceux qui lui disait le plus de choses dĂ©sagrĂ©ables en privĂ© ». Il affirmait aussi de son maĂźtre politique Chirac, je l'adore, je l'aime. Mais je suis aussi lucide sur le personnage ». En 2010, l'Ă©tĂ© prĂ©cĂ©dant le procĂšs de Jacques Chirac pour l'affaire des emplois fictifs de la ville de Paris, il participe Ă l'Ă©laboration d'une saga de politique-fiction pour le quotidien Le Monde Chirac, Le roman d'un procĂšs, Ă©crite avec deux journalistes, Pascale Robert-Diard et Françoise Fressoz. DĂ©tail des mandats et fonctions Au gouvernement Gouvernement Alain JuppĂ© I 18 mai 1995 â 7 novembre 1995 ministre de l'IntĂ©rieur Gouvernement Alain JuppĂ© II 7 novembre 1995 â 2 juin 1997 ministre de l'IntĂ©rieurAu Parlement 2 avril 1986 â 14 mai 1988 dĂ©putĂ© de l'Eure 23 juin 1988 â 1er avril 1993 dĂ©putĂ© de la 1re circonscription de l'Eure 2 avril 1993 â 18 juin 1995 dĂ©putĂ© de la 1re circonscription de l'Eure 12 juin 1997 â 18 juin 2002 dĂ©putĂ© de la 1re circonscription de l'Eure 16 septembre 1997 â 18 juin 2002 prĂ©sident du groupe RPR Ă l'AssemblĂ©e nationale 19 juin 2002 â 4 mars 2007 dĂ©putĂ© de la 1re circonscription de l'Eure 25 juin 2002 â 4 mars 2007 prĂ©sident de l'AssemblĂ©e nationaleAu niveau local 20 mars 1989 â 18 juin 1995 conseiller municipal d'Ăvreux Eure 30 mars 1992 â 22 mars 1998 conseiller gĂ©nĂ©ral de l'Eure, Ă©lu dans le canton de Nonancourt 19 juin 1995 â 1er juin 1997 adjoint au maire de Paris 23 mars 1998 â 18 avril 2001 10e vice-prĂ©sident du conseil gĂ©nĂ©ral de l'Eure 18 mars 2001 â 12 mars 2007 maire d'Ăvreux, prĂ©sident de la communautĂ© d'agglomĂ©ration d'ĂvreuxAu sein de partis SecrĂ©taire national du RPR, chargĂ© de la Justice 1988 -1993 ; porte-parole de l'opposition RPR-UDF, chargĂ© des problĂšmes de justice et sĂ©curitĂ© 1988 -1993 ; SecrĂ©taire gĂ©nĂ©ral adjoint et porte-parole du RPR 1993 -1995 ; premier secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral adjoint du RPR 1995 ; membre du bureau politique du RPR ; secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral du RPR par intĂ©rim 1997 ; membre du conseil politique du RPR;Autres fonctions 5 mars 2007 â 5 mars 2016 prĂ©sident du Conseil constitutionnel depuis le 5 mars 2016 prĂ©sident du Conseil supĂ©rieur des archivesDistinctions et dĂ©corations Chevalier de l'ordre du MĂ©rite agricole Grand-croix de l'ordre d'Isabelle la Catholique EspagnePublications Essais Les idĂ©es constitutionnelles du gĂ©nĂ©ral de Gaulle, Librairie gĂ©nĂ©rale de droit et de jurisprudence, coll. BibliothĂšque constitutionnelle et de science politique » no 49, Paris, 1974, vi-461 p., ISBN 2-275-01303-2, BNF 34563452. â thĂšse de droit public Michel DebrĂ© et Jean-Louis DebrĂ©, Le Pouvoir politique, Ă©ditions Seghers, coll. Point de dĂ©part », Paris, 1976, 159 p., [pas d'ISBN], BNF 34701443 Le Gaullisme, Ă©ditions Plon, coll. Tribune libre », Paris, 1977, 185 p. + 6 p. de fac-similĂ©s + 2 p. de planches illustrĂ©es, ISBN 2-259-00330-3, BNF 34591481 La Justice au XIXe siĂšcle. 2 volumes Volume 1 Les Magistrats, Ă©ditions Perrin, Paris, 1981, 223 p. + 16 p. de planches illustrĂ©es, ISBN 2-262-00215-0, BNF 37661622 Volume 2 Les RĂ©publiques des avocats, Ă©ditions Perrin, Paris, 1984, 381 p., [ISBN non connu], BNF 37591374 En mon for intĂ©rieur, Ă©ditions Jean-Claude LattĂšs, Paris, 1997, 162 p., ISBN 2-7096-1803-6, BNF 36695589 Le gaullisme n'est pas une nostalgie essai, Ă©ditions Robert Laffont, Paris, 1999, 228 p., ISBN 2-221-09015-2, BNF 37094813 Les OubliĂ©s de la RĂ©publique, Ă©ditions Fayard, Paris, 2008, 317 p., ISBN 978-2-213-63709-9, BNF 41294474. â essai sur le travail des parlementaires par des exemples de propositions de loi qui ont abouti Dynasties rĂ©publicaines, Ă©ditions Fayard, Paris, avril 2009, 353 p. + 8 p. de planches illustrĂ©es, ISBN 978-2-213-64339-7, BNF 41479427 Ces femmes qui ont rĂ©veillĂ© la France, Ă©ditions Fayard, Paris, 2012 Adaptation au théùtre sous le mĂȘme titre, avec son Ă©pouse ValĂ©rie Bochenek, au théùtre de la GaĂźtĂ©-Montparnasse, en 2021. Françaises, français, ces discours qui ont marquĂ© la Ve RĂ©publique, L'Archipel, BrochĂ©, 2013 Le Monde selon Chirac, Ă©ditions Tallandier, 2015 ISBN 979-102100866-3 Jean-Marie Roughol et Jean-Louis DebrĂ© collaborateur, Je tape la manche une vie dans la rue, Paris, Ă©d. Calmann-LĂ©vy, 7 octobre 2015, 172 p., 21 cm ISBN 978-2-7021-5900-2, BNF 44431123. Ce que je ne pouvais pas dire, Robert Laffont, 2016 Dictionnaire amoureux de la RĂ©publique, Plon, 2017 Tu le raconteras plus tard, Robert Laffont, 2017 Nos illustres inconnus, Albin Michel, 2018 Une histoire de famille, Robert Laffont, 2019Romans Le Curieux, Ă©dition no 1, Paris, 1986, 222 p., ISBN 2-86391-199-6, BNF 34876217 PiĂšges, Ă©ditions Robert Laffont, Paris, mai 1998, 208 p., ISBN 2-221-08814-X, BNF 36991279 Quand les brochets font courir les carpes, Ă©ditions Fayard, coll. Fayard Noir », Paris, janvier 2008, 305 p., ISBN 978-2-213-63578-1, BNF 41193172 Meurtre Ă l'AssemblĂ©e, Ă©ditions Fayard, coll. Fayard Noir », Paris, septembre 2009, 275 p., ISBN 978-2-213-64284-0, BNF 42082115 Regard de femme, Ă©ditions Fayard, coll. Fayard Noir », Paris, 2010 Jeux de haine, Ă©ditions Fayard, coll. Fayard Noir », Paris, mars 2011, 359 p., ISBN 978-2-213-66203-9, BNF 42410965 La Rumeur, Ăditions Robert Laffont 2020Notes et rĂ©fĂ©rences Voir aussi Bibliographie Solange Brousse, Jean-Louis DebrĂ©, Sous-estimez-moi..., Ă©ditions du Moment, octobre 2014, 224 p. ISBN 978-2-3541-7299-2Filmographie Deux fictions, inspirĂ©es de faits rĂ©els, ont reprĂ©sentĂ© Jean-Louis DebrĂ© 2011 dans le film La ConquĂȘte de Xavier Durringer, il est interprĂ©tĂ© par l'acteur GĂ©rard Chaillou, film retraçant la campagne prĂ©sidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007. 2013 dans le tĂ©lĂ©film La DerniĂšre Campagne, son rĂŽle est interprĂ©tĂ© par Henri connexes Famille DebrĂ© Mouvement des sans-papiers Ă Paris en 1996 Historique des prĂ©sidents de l'AssemblĂ©e nationale Ve RĂ©publique EmpĂȘchement du prĂ©sident du Conseil constitutionnelLiens externes Ressources relatives Ă la vie publique AssemblĂ©e nationale Base Sycomore Portail du droit français Portail de la politique française Portail de la Ve RĂ©publique Portail de lâEure Ce contenu est mis Ă disposition selon les termes de Licence Creative Commons Attribution - Partage dans les MĂȘmes Conditions Article Jean-Louis DebrĂ© de WikipĂ©diaContributeurs voir la liste
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Cestrois prochains mois, Jean-Louis DebrĂ© et sa compagne ValĂ©rie Bochenek vont passer leurs soirĂ©es ensemble sur les planches du théùtre de la GaitĂ© Montparnasse, Ă Paris. L'ancienSuppression de l'ENA DebrĂ© compare Macron Ă NapolĂ©on III Le fils du fondateur de l'Ecole nationale d'administraiton n'apprĂ©cie pas que le prĂ©sident de la RĂ©publique envisage sa disparition. POLITIQUE - Cela fait deux jours quâil dĂ©nonce une mesure âpopulisteâ. Depuis que circule une version de lâallocution quâEmmanuel Macron aurait dĂ» prononcer lundi et selon laquelle il aurait annoncĂ© la suppression de lâENA, Jean-Louis DebrĂ© est remontĂ© contre le chef de lâĂtat. Et pas seulement parce que câest son pĂšre, Michel DebrĂ©, qui est considĂ©rĂ© comme le pĂšre de lâĂ©cole qui forme les hauts-fonctionnaires français. Il considĂšre que le prĂ©sident de la RĂ©publique se trompe de rĂ©ponse. A la crise des âgilets jaunesâ, âon rĂ©pond par la suppression de lâENA. Câest surrĂ©alisteâ, a dĂ©noncĂ© lâancien prĂ©sident du conseil constitutionnel ce vendredi sur Europe1. Et Jean-Louis DebrĂ© de faire un parallĂšle entre Emmanuel Macron et celui qui, au XIXe siĂšcle avait supprimĂ© lâĂ©cole de lâadministration créée sous la IIe RĂ©publique par Hippolyte Carnot NapolĂ©on III. Lâex-prĂ©sident de lâAssemblĂ©e reconnait cependant âune astuce politique intelligenteâ. âOn ne parle pas de ce qui est souhaitĂ© par les Français, câest-Ă -dire une amĂ©lioration de la fiscalitĂ©. On parle de lâENA, on polarise sur un autre sujet pour que tout le monde le discute et pour quâon oublie que dans le discours que le prĂ©sident nâa pas fait, il nây avait rien, en faitâ, dĂ©plore Jean-Louis DebrĂ©. Ă voir Ă©galement sur Le HuffPost GuillaumeDebrĂ©, fils du prĂ©sident de l'AssemblĂ©e nationale Jean-Louis DebrĂ©, a Ă©tĂ© choisi pour devenir Ă la rentrĂ©e l'un des trois correspondants de TF1 Ă Washington, indique
Home Privacy Policy Contact Home » Guillaume debre journaliste fils de Guillaume debre journaliste fils deBy Stephanie RobertsonApril 11, 2022 Guillaume debre journaliste fils de; Guillaume DebrĂ© est un journaliste français qui travaille pour le journal. Cet individu est leâŠ
FrançoisDebrĂ©, le fils maudit. RĂ©mi Duchemin 18h08, le 14 septembre 2011, modifiĂ© Ă 10h28, le 15 dĂ©cembre 2011. PrĂ©venu dans le procĂšs Chirac, le frĂšre de Jean-Louis et fils de Michel403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID leAzzSqtQSc3iVtNv149DZbuds2EprUQtQZeVa16TtriGcj7IOr_KQ== GuillaumeDebrĂ© est un journaliste français qui travaille comme contributeur pour la publication. Cet individu est le fils de Jean-Louis DebrĂ©, lâactuel prĂ©sident du Conseil constitutionnel. De plus, il est le fils dâAnne-Marie DebrĂ© (dĂ©cĂ©dĂ©e le 21 juillet 2007). Il a personnellement assistĂ© Ă un certain nombre dâĂ©vĂ©nements Je nâai pas lu le plus rĂ©cent livre du journaliste de gauche appelĂ© Guillaume DebrĂ©, fils de Jean-Louis. Je ne le lirai pas. Les premiĂšres pages disponibles sur le site de la librairie en ligne Amazon mâont amplement Ă lâĂ©vidence un livre dĂ©bile, dĂ©sinformateur, arrogant, Ă©crit par un journaliste français qui se pense supĂ©rieurement intelligent, qui a Ă©pousĂ© une AmĂ©ricaine de gauche et qui semble aussi dĂ©bile que son contribuer Ă en utilisant votre carte de crĂ©dit sans vous inscrire Ă Paypal, cliquez sur ce lien et indiquez le montant de votre a passĂ© seize ans aux Etats-Unis, sans doute dans lâune des grandes villes de la cĂŽte Est. Il semble ĂȘtre allĂ© chez ses beaux-parents en se pinçant le nez et en les prenant pour des abrutis, puisquâils votent livre quâil a Ă©crit doit ĂȘtre les deux centiĂšmes Ă cracher sur Trump Ă ĂȘtre paru en langue française. Câest aussi avec Le monde selon Trump de Nicole Bacharan lâun des plus consternant par la bĂȘtise qui lâ sujet du livre est les tweets de Trump. Et le livre sâappelle Je twitte donc je que Guillaume DebrĂ© nâa visiblement pas compris est que Trump a choisi de recourir aux tweets pour communiquer de maniĂšre directe avec la population amĂ©ricaine, sans que ses paroles soit filtrĂ©es et dĂ©formĂ©es par les journalistes de gauche dĂ©biles et nocifs tels que Guillaume DebrĂ©. Et ce quâil nâa pas compris est que cela fonctionne 78 millions de personnes suivent Trump sur quâil nâa pas compris non plus est que Donald Trump a un immense sens de lâhumour, et comme Guillaume DebrĂ© est trĂšs bĂȘte, il prend ce que Trump Ă©crit au deuxiĂšme ou au troisiĂšme degrĂ© au premier degrĂ©. Guillaume DebrĂ© a lâintelligence du taureau qui fonce en direction du chiffon rouge quâon agite devant Etats-Unis, les journalistes de gauche dĂ©biles du style de Guillaume DebrĂ© se gardent bien de dĂ©battre avec des journalistes conservateurs, car ils savent quâau bout de trente secondes leur imposture deviendrait flagrante. En France, ils se trouvent trĂšs rarement devant des journalistes conservateurs, car il y en a trĂšs peu, et quâils appartiennent Ă une espĂšce en voie de que Guillaume DebrĂ© se garde bien de dire est que Donald Trump peut Ă©crire de maniĂšre vive, mais le fait toujours en riposte aux attaques ignobles dĂ©versĂ©es contre lui par des journalistes de gauche qui ont la dĂ©bilitĂ© non seulement nocive, mais accuse Donald Trump de âdiviser lâAmĂ©riqueâ et ne dit pas que Donald Trump dans chacun de ses discours, et jâen ai Ă©coutĂ© beaucoup, tient des paroles sâadressant au peuple amĂ©ricain tout entier, sans distinction de race, de religion ou de conviction, mais se trouve sans cesse confrontĂ©, depuis la premiĂšre seconde de son accession Ă la prĂ©sidence, Ă des journalistes de gauche qui ont la dĂ©bilitĂ© haineuse, et Ă des politiciens de gauche sordides et enragĂ©s tels que ceux qui transformant les dĂ©bats organisĂ©s au cours des Ă©lections primaires dĂ©mocrates en pugilat verbal dont Guillaume DebrĂ© se garde bien de parler est de la politique suivie par Donald Trump, sans doute parce quâil a lâesprit engluĂ© dans sa propre dĂ©bilitĂ©. Je pourrais dire quâil parle dâabord et quâil rĂ©flĂ©chit aprĂšs, mais la deuxiĂšme partie de la phrase serait en trop. Il parle dâabord, et sâabstient de dĂ©couvert son livre en regardant une Ă©mission de Pascal Praud, que je prenais pour un journaliste intelligent, mais en prĂ©sentant le livre, Pascal Praud a dĂ©crit Trump en quelques adjectifs tirĂ©s du livre de Guillaume DebrĂ© et sâest abaissĂ© au niveau de Guillaume DebrĂ© il a dĂ©crit avec dĂ©lectation Trump comme âgrossier, vulgaire, dĂ©bile et violentâ. Il a citĂ© des traductions de tweets de Donald Trump qui sont dĂ©fectueuses et DebrĂ© traduit crooked Hillary par âHillary la pourrieâ, alors quâune traduction digne de ce nom dirait âHillary la tordueâ, ou âHillary la tortueuseâ. Ce qui est une description pertinente de Hillary le plateau, il y avait Harold Hyman, un journaliste de gauche malhonnĂȘte plĂ©onasme avec lequel jâai Ă©tĂ© invitĂ© Ă dĂ©battre lors dâune de mes confĂ©rences en France il y a quelques mois. Ses raisonnements face Ă moi Ă©taient si piĂštres et dâune telle mauvaise foi quâil sâest fait constamment huer par la salle. A la tĂ©lĂ©vision, le public est Ă distance, et donc il est possible de tenir des propos malhonnĂȘtes sans se faire huer. La suites sur le nom me dit quelque chose, je l'ai dĂ©jĂ entendu quelque part. ..... Commet faire confiance Ă un journaliste de gauche français lorsqu'il parle d'un prĂ©sident de droite ? On ne peut pas pour les mĂ©dias français tout ce qui est RĂ©publicains c'est le mal absolu, l'idiotie grasse et complĂšte etc ... Pourtant ce sont les RĂ©publicains qui ont redresser le pays Ă chaque dois qu'un prĂ©sident DĂ©mocrate la mis dans la ruine, c'est l'intelligence de gouvernement qui Ă permis Ă ce pays de rester leader dans le monde lorsque les DĂ©mocrates ne faisaient que des co...... Ce qui est amusant lĂ dedans c'est que chaque fois qu'un journaliste de ce genre lĂ Ă©crit quelque choses il se passe l'inverse de ce qu'il Ă©crit, en cela c'est une bonne boussole, il suffit de penser l'inverse de ce monsieur pour savoir la seulement je ne lirais pas le livre de ce monsieur mais je ne pense pas lire un jour le moindre article de lui je pense que c'est une perte de temps et je n'aime pas perdre mon temps f7sJeDy. 300 206 457 155 484 94 426 412 123