News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Photos Blu-Ray, DVD Musique Secrets de tournage Box Office Récompenses Films similaires note moyenne 4,0 1258 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné Votre avis sur De son vivant ? 174 critiques spectateurs 5 48 critiques 4 72 critiques 3 27 critiques 2 12 critiques 1 12 critiques 0 3 critiques Trier par Critiques les plus utiles Critiques les plus récentes Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnés très déçue par ce film. La relation mère/fils est assez légèrement évoquée et peu explicite. D'autant moins que Deneuve joue mal, et son personnage n'est pas très facile à cerner de ce fait. En revanche Magimel joue plutot bien. Bref, je me suis un peu ennuyée Film traitant de la fin de vie d'un malade du cancer du pancréas. Le sujet est lourd mais il est traité avec légèreté et beaucoup d'humour. Puissant et touchant Absolument magnifique ! Le plus beau film d'Emmanuelle Bercot, porté par des acteurs merveilleux. Simplement immanquable. Pour Benoit Magimel grandiose ! Film très émouvant grâce à Magimel. Une interprétation réellement très impressionnante ! Un mélo bien maîtrisé par de bons acteurs. Des réserves quant aux personnages secondaires la collègue du cancérologue jouée par Cécile de France et le fils de Benjamin il manque des situations, des scènes pour qu'ils prennent de l'épaisseur ou bien sont-ils finalement de trop ? L'hommage au personnel des hôpitaux est touchant. Frustrant cette mode qui abandonne un banc-titres acteurs principaux, réalisateur, musique, dialogue au début. Ceci dit c'est un film poignant, bouleversant, émouvant avec des acteurs bien trempés à commencer par Benoît Magimel tandis que Catherine Deneuve commence à collectionner les rôles du troisième âge avec brio. C'est aussi un film déprimant car le réalisateur a probablement voulu que le spectateur soit en osmose avec le ressenti des personnages mzis à être trop déprimant, il provoque une certaine lassitude que vient arrêter quelques rares moments de bonne humeur. Film extrêmement touchant qui ne tombe jamais dans la sensiblerie mais avec une grande justesse humaine. De très beaux moments d'acteurs tant parmi les têtes d'affiche que par les seconds rôles. Si le sujet est triste, la mise en scène met en avant la lumière dans ce sujet difficile. Tiré du roman éponyme, ce film est magistral, tant par la prestation des acteurs qui est mémorable que par l'ambiance visuelle et sonore qui y sont instaurées. On a vraiment affaire à une bonne histoire de deux heures tout de même qui est prenante, bien rythmée. On se sent proche, au contact de cette homme durant sa fin de vie. Le spectateur s'identifie aisément au personnel soignant notamment grâce aux scènes où ils discutent entre eux et évoquent leurs sentiments et leurs choix dans le travail comme eux nous hésitons, nous pleurons malgré une fin qui, nous le savons, est inévitable. La prestation de Benoît Magimel est forte émotionnellement et très convaincante, il nous transporte dans son univers théâtrale et sa relation affectueuse avec ses élèves, presque charnelle parfois. J'ai terriblement apprécié la séquence où il demande aux élèves de se toucher, se sentir comme si c'était la dernière fois qu'ils se voyaient l'aurevoir est le leitmotiv de ce métrage, tout comme le pardon. Le personnage de Léandre le fils de Benjamin en est le symbole faut-il dire au revoir et pardonner à une personne qui n'a jamais voulu de nous ? De plus, on souligne assez rarement les films français pour leur bande-originale, celle-ci alimente vraiment la tension dramatique du film, elle sert le récit très efficacement tout en préservant le caractère intimiste de l'oeuvre. Même les musiques sont bien choisis avec une magnifique reprise de Voyage, Voyage de Desireless et Nothing Compares 2 U de Sinéad O'Connor. Enfin, la scène finale mort de Benjamin est splendide avec ce panoramique qui nous montre le moment exact de la mort apparition de la lumière , la guitare qui s'arrête tout cela fait écho au début du film, c'est le malade qui choisit quand mourir .Bref, j'ai adoré ce film qui selon moi est le meilleur long-métrage français de 2021. Ce qui est sûr c'est qu'on reverra ce film aux Césars. Je recommande vivement d'aller voir cette oeuvre. Je vais avoir du mal à parler du dernier film d'Emmanuelle Bercot, "De son vivant", soyez prévenus. Il me semble que c'est l'un des films les plus dur que j'ai vu sur le sujet de la fin de vie, tant la rigueur brutale qui fait la force du cinéma de la réalisatrice déjà sur "La tête haute" fait ressortir tout ce qu'il y a de plus humain et de plus difficile sur le thème de la mort, et la fin de la séance fut particulièrement difficile pour voyeuriste, toujours honnête sans tomber dans le mélo, "De son vivant" déploie toute sa force pour nous accompagner dans la fin de vie de Benjamin Magimel absolument sublime, en abordant la question des regrets, de nettoyer le bureau de notre vie, et en portant un respect immense à ces gens qui feront partis des dernières rencontres de notre vie ceux qui nous accompagnent dans cette épreuve difficile, jusqu'au dernier instant. Mention pour le professeur Sarda, qui peut jouer un peu faux par moment ce n'est pas son métier c'est normal mais qui apporte au film la réalité de l'accompagnement dans l'épreuve et comment le chemin vers la fin se d'en parler, difficile de voir ce que je retiendrai du film tant les nombreuses intrigues se mélangent à mon propre vécu. Il restera pour moi une direction de la photographie certes naturaliste mais offrant un travail de la lumière naturelle tout en subtilité, un casting dans l'ensemble impeccable, des images douloureuses qui me resteront en tête. Au delà de cela, je retiendrai la philosophie du film, du moins ce que j'en ai perçu, à savoir que lorsque la mort vient à nous et qu'il n'y a plus qu'un seul futur à construire, c'est l'instant où nous sommes suceptibles de nous ouvrir à tout ce qui fait le présent de notre existence les petites attentions, les gens qui sont là , les émotions d'un instant, et une certaine absurdité hasardeuse des choses, en décalage avec le plan de l'existence, qui participe à définir notre humanité. Un débordement d'émotions, mais travaillées, ciselées, analysées... la beauté de ce qui nous attend tous et le rôle magnifique et admirable des équipes soignantes et accompagnantes. Magimel et le Docteur Sara, magistraux de complicité vitale, portent ce "chemin parcouru" de bout en bout et je suis là , spectateur et acteur, impuissant mais vivant ! Un film magnifique, une mise en scène qui nous porte, des comédiens tellement justes et généreux. A voir et revoir absolument! Ce film est criant de vérité, la lutte contre la maladie incurable, un mlueu hospitalier toujours à la limite de l'épuisement, mais qui survit malgré tout, un cancérologue humain, si si, et un Benoît Magimel eblouïssant, bravo ! Je suis bien embêté, je ne sais pas quoi penser de ce film. Je crois que j'aurais carrément préféré un documentaire sur la méthode de ce médecin, le docteur Gabriel Sara qui joue son propre rôle, qui vous apprend "Comment aborder et gérer la mort d'un proche". C'est le côté un peu didactique du film. Le récit principal est dilué, à mon avis, par des scènes artificielles et des récits périphériques pas toujours passionnants, notamment les cours de comédie qui sonnent faux, comme les scènes où les soignants débriefent. On est loin du naturel des scènes de "120 battements par seconde", par exemple. La vision de l'hospitalisation est à contre-courant de tout ce qu'on peut nous dire depuis deux ans ici, médecins, infirmières et personnel soignant se retrouvent en salle de repos et chantent "Bye Bye, Love", en s'accompagnant à la guitare et en dansant. Ok...Alors évidemment, on est parfois au bord des larmes, comment ne pas l'être, vu le contexte ? Magimel et Deneuve sont très émouvants, mais j'ai trouvé que ça manquait quand même terriblement de profondeur, de relief. On a du mal à croire à certaines scènes, la jeune comédienne qui débarque dans la chambre pour répéter , l'infirmière qui tombe amoureuse de Magimel , le fils qui apparaît brusquement dans la chambre... et Bercot n'évite pas les clichés. Gênant. Et cette musique incessante, qui surligne l'émotion, que c'est pénible! Bref, au total, je n'ai pas trouvé le film à la hauteur d'Emmanuelle Bercot qui nous avait habitués à beaucoup mieux. Un petit coup de mou, sans doute. Mais la scène où le vieil homme voisin de lit de Magimel quitte son lit pour chanter, danser et jouer des maracas est vraiment très embarrassante. Il fais ressortir le meilleur et le pire des émotions de notre corps il fais pleure on s'attache au personnes Le long métrage raconte une histoire il est vraiment magnifique à aller voir sans hésiter de 18 à 100 ans Très beau film ! Benoît Magimel au sommet de son art, personnage touchant, une interprétation magistraleCatherine Deneuve toujours aussi belle et digneN'oubliez pas les mouchoirs Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse
9sept. 2017 - Voyage et films : voyager sur les traces de lieux de tournage de ses films et séries préférées ou poursuivre le voyage depuis son canapé à travers de belles histoires au quatre coins de la galaxie !. Voir plus d'idées sur le thème voyage, film, tournage.
Voyage d'un Européen à travers le XXe siècle, de Geert Mak Traduit du néerlandais par Bertrand Abraham Gallimard, 1 066 p., 35 euros Janvier 1999. Plusieurs pays européens viennent d'adopter la monnaie unique au moment où commence la dernière année du XXe siècle. Un quotidien du soir néerlandais, le NRC Handesblad, commande alors une série de chroniques originales à l'un de ses journalistes vedettes, Geert Mak. Celui-ci accomplit un voyage d'un an à travers l'Europe pour faire un état des lieux du continent qui soit en même temps un bilan du siècle finissant. Mak rédige chaque jour une chronique pour la une » de son journal. Revenu chez lui, il décide de faire le récit de son périple géographique et historique le résultat est ce pavé de mille pages, qui se dévore comme un roman tant il est passionnant. Le journaliste s'est interdit de colliger ses chroniques mais a élaboré un peu banal journal de voyage. Voyage dans l'espace et dans le temps, donc, ce qui en fait tout l'intérêt. Mak a combiné ses itinéraires selon l'histoire du siècle, faisant étape dans tous les lieux marqués par des événements majeurs. Le lien est immédiat entre ce qu'il voit aujourd'hui et ce que le même endroit a été ou a connu, de Verdun à Sarajevo en passant par Dresde ou Budapest. Constants allers-retours entre le passé et le présent Pour ce faire, il consacre chaque mois de l'année à évoquer une période d'une ou deux décennie du XXe siècle, en suivant une progression chronologique qui en rend la lecture évidente. Parti d'Amsterdam, le voyageur fait sa première étape à Paris, celui de l'Exposition universelle de 1900, et s'achève à Belgrade et Sarajevo en décembre 1999 alors que la guerre du Kosovo fait rage. Du coup, tout s'enchaîne, crises, guerres, révolutions, génocides, initiatives, avec une logique qu'un récit très clair rend lumineuse. C'est que le journaliste voyageur - on allait presque écrire pèlerin, tant il semble motivé par une foi quasi religieuse envers l'Europe - agence avec habileté ces constants allers-retours entre le passé et le présent. La rencontre d'une paysanne, le récit coloré de rescapé d'une guerre, un paysage aperçu de son vélo, d'un train, d'un ferry ou de son minibus, la vision d'un film, la consultation de documents, tout provoque aussitôt, comme par réflexe, un retour aux faits historiques. Par exemple, ce pompier retraité d'Ypres qui depuis des décennies sonne chaque jour du clairon à l'heure dite pour saluer la mémoire des 54 896 soldats tués lors de la Première Guerre mondiale et dont les noms figurent sur un monument de sa ville. Ou encore Lucienne Gaillard, qui préside l'Association nationale des anciens combattants de la Résistance française. Et Anna Smirnova qui avait 20 ans pendant le siège de Leningrad. Ou Hans Krijt, Néerlandais installé depuis 1948 en Tchécoslovaquie, qui peut raconter révolutions et contre-révolutions, répressions et libéralisations. Sans compter les nombreux habitants des ex-pays de l'Est qui décrivent avec volubilité les épreuves vécues sous le joug communiste, les espoirs insensés de libération puis les déceptions suscitées par l'Occident et son libéralisme impitoyable. On découvre des détails inattendus, des faits peu connus Voilà toute une mosaïque de souvenirs, de destins, de frustrations, de bonheurs qui, de Belfast à Volgograd Stalingrad, de Stockholm à Lisbonne, forment aujourd'hui le patrimoine intellectuel commun d'un continent qui tente de s'unifier. Intelligemment, Mak y ajoute des récits substantiels de témoins plus ou moins acteurs de l'histoire qu'il laisse parler sans intervenir, comme Richard von Weisacker, fils d'un grand diplomate allemand il fut l'un des négociateurs de Munich en 1938 et lui-même officier dans la Wermacht. Comme Ruud Lubbers, ancien premier ministre des Pays-Bas, proche de Schuman et Monnet. En l'absence de témoins directs, Mak puise ses récits à bonne source Joseph Roth, Marc Bloch, Albert Speer, Viktor Klemperer, Primo Levi, Harold Nicholson, Edgar Morin, etc. Fort de cet appareil documentaire, Geert Mak se permet un véritable cours d'histoire en décryptant d'une manière extrêmement claire les causes des guerres et des révolutions. Il sait attirer l'attention sur des détails inattendus, des faits peu connus qui donnent une vision un peu décalée de notre histoire commune, par exemple sur la montée du franquisme en Espagne. Rien que pour ce travail pédagogique, ce livre mérite d'être lu. Une mine d'informations sur le passé tourmenté du continent Mak donne le point de vue de tous les camps en présence avec une objectivité louable. Il passe souvent par Paris ou Londres et Moscou mais c'est Berlin qui symbolise sans cesse au fil du livre le destin erratique de l'Europe, des Uhlans partant la fleur au fusil en 1914 jusqu'à la chute du Mur. Les guerres civiles irlandaises et basques, la question turque, les révoltes de Mai 68 ne sont pas occultées mais, en dehors de l'Holocauste, c'est à l'évidence la fin de l'empire communiste et la liberté conquise par les pays de l'Est qui fascinent et touchent le plus le journaliste historien. On pourra certes reprocher quelques petites erreurs la manière schématique dont est décrite l'arrivée au pouvoir de De Gaulle en 1958, le chiffre de 12 millions d'Allemands de l'Est - sur 19 millions - ayant, dit-il, émigré dans les années 1950 vers l'Ouest et le côté peu pratique du renvoi en notes des traductions de citations laissées en langue originale ce qui oblige à un constant va-et-vient dans sa lecture. Il n'en reste pas moins que ce livre contient une mine d'informations sur le passé tourmenté de notre continent, les ombres terribles et les lumières qu'il a portées et les raisons de sa course à l'unification pour tenter de réunir, au-delà d'un simple marché économique, une communauté de peuples. Rien n'est gagné l'espoir européen vit toujours mais tant d'obstacles, de frustrations, de désirs de revanche parsèment sa route. Geert Mak éclaire tout cela avec un brio, une conviction des plus stimulants. Jean-Luc MACIA
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Accéder au contenu principal Soap&Skin est le nom de scène de l’artiste, chanteuse, compositrice et productrice autrichienne Anja Franziska Plaschg. Depuis quelques semaines, la reprise de l’artiste autrichienne vit un certain succès en France. Dans ce clip vidéo, nous avons quelques images tirées du film STILLLEBEN Still Life’ réalisé par Sebastian Meise sorti en mai 2012 en Autriche. Plus d’infos Cette cover est disponible sur le minialbum Narrow Février 2012. Disponible sur amazon ! Soutenez le blog Faites un don ou offrez un café. Navigation des articles
Enquête: A quoi ressemblera la reprise des voyages ? Par. Emmanuel D'abzac. -. 14 avril 2020. Le Covid-19 a un impact massif sur la demande de voyages – la probabilité de faire un voyage d
AprèsLa Tête haute, Emmanuelle Bercot réunit à nouveau Benoît Magimel et Catherine Deneuve dans De son vivant, un émouvant drame sur la fin de vie d’un homme trop jeune pour mourir, dont les
Le voyage au long cours ne serait-il qu’un simple voyage » prolongé ? Ou la durée du séjour influence-t-elle l’expérience même du voyage ? Vous vous en doutez, je suis plutôt pour cette deuxième approche. Mais pourquoi et comment la durée peut-elle changer le vécu du voyageur ? Pourquoi partir pour une longue période n’équivaut absolument pas à plusieurs petits voyages cumulés ? Ce n’est pas la taille qui compte La durée du séjour n’est sûrement pas la seule donnée qui influence l’expérience d’un voyage. Ce qui fait qu’un voyage est unique est multifactoriel Le contexte du voyageur professionnel, familial, sentimental… Le contexte et le cadre du voyage voyage d’affaire ou de loisir, fixe ou itinérant, long ou court… Le contexte du pays de destination crise politique/économique, saison des pluies/sèche, haute saison touristique, événement carnaval, événement sportif…, grève… Le style du voyageur et du voyage préparation du voyage, voyage en hôtel de luxe ou chez l’habitant, en mode sac à dos ou en tour organisé, seul, en couple ou en groupe… Et puis simplement le hasard la météo, les rencontres, la chance… La durée n’est donc qu’un élément perdu dans la masse des facteurs influençant le vécu et l’expérience du voyageur. Pourtant, cet élément à une influence particulière et importante. Voyage au long cours VS citytrip les différences Chaque style de voyage est unique, mais au-delà de cette certitude, quels sont les grands traits des voyages longs et courts ? En approchant les contrastes et particularités de ces modes de voyages selon la durée, voici une petite comparaison des avantages et inconvénients des voyages longs et courts. Avantages et inconvénients du voyage au long cours Avantages Temps pour s’imprégner de l’ambiance, de la culture, du mode de vie… Temps pour se perdre et découvrir par soi-même Visite de lieux moins touristiques Plus économique au rapport dépenses/jour Plus écologique l’avion est compensé par un déplacement plus lent et local sur place Dynamique différente, propice aux réflexions sur le monde, les cultures, soi développement personnel… Inconvénients Nécessite beaucoup de temps ! Nécessite plus d’organisation globale quid du travail et des obligations Coûte plus cher qu’un citytrip Demande de faire le grand pas » pour ceux qui n’ont encore jamais expérimenté le voyage au long cours sortir de sa zone de confort, clichés sur les pays lointains et leurs dangers » Avantages et inconvénients du citytrip Avantages Plus économique au total moins cher de partir un week-end ou une semaine qu’un mois ou un an. Permet des escapades plus fréquentes petites évasions au quotidien Permet de découvrir des régions proches pas besoin d’aller à l’autre bout du monde pour jouer les touristes ! Permet des voyages thématiques/ciblés séjour sportif, culturel, gastronomique… Inconvénients Demande plus de préparation rentabiliser les jours sur place, ne pas perdre de temps »… Plus cher au rapport dépenses/jour le transport étant souvent un gros poste des dépenses du voyage, le prix de l’avion devient proportionnellement plus cher Se concentre sur les essentiels, immanquables » difficile de sortir dans grands clichés touristiques Moins de temps pour explorer par soi-même Quelle est la durée optimale d’un voyage Le voyage idéal n’existe pas, j’y reviendrais dans un prochain article. Néanmoins, je me suis posé une question combien de temps faut-il pour pouvoir déconnecter, pour pouvoir s’imprégner d’un lieu et d’une culture, pour se sentir simplement en voyage ? … Cela dépend ! Belle réponse n’est-ce pas ? Durée idéale et subjectivité Cette durée idéale dépend bien sûr du voyageur, de son style de voyage… mais elle dépend aussi et surtout de sa conception du voyage et de ses expériences antérieures de voyages. Pour ceux qui partent chaque année quelques jours ou une semaine, partir un mois est vu comme très long, un luxe, la chance d’une vie. Alors que pour ceux qui partent souvent pour des périodes plus longues, partir un mois fait l’effet d’un citytrip d’un week-end ! En parlant avec des voyageurs-nomades partis en tour du monde depuis 5 ans, nous avons pu échanger sur la durée idéale des voyages Une année, c’est bien c’est des belles vacances, on commence à vraiment en profiter, à déconnecter de son ancienne vie. Une bonne durée de voyage au long cours correspondrait plutôt à 3 ans, car selon eux il y a un cap psychologique, un changement dans les conceptions du monde, de soi, de son voyage… qui opère alors. Einstein et la relativité du temps… Durée idéale et déconnexion La capacité à déconnecter dépend tout autant de cette notion de subjectivité et de contexte de voyage. Je pense malgré tout que partir une semaine ne permet pas le même vécu de déconnexion et d’immersion qu’un voyage au long cours. Lorsque nous sommes partis en Amérique latine pour notre premier grand voyage, après quelques semaines nous nous sentions voyageurs », après un mois, nous avions l’impression d’être parti depuis une éternité et que notre vie sur le vieux continent remontait à une autre vie. Mais j’ai eu la surprise, lors de notre retour au Pérou 3 ans plus tard, de retrouver directement mes marques, de me sentir directement immergée. Après trois jours, j’avais l’impression d’être en voyage depuis 3 mois… Voire de ne jamais être partie d’Amérique, ou d’avoir juste mis le voyage en pause pendant ces trois années, comme on interrompt un film le temps d’une distraction pour le reprendre quelques instants plus tard là où on l’avait laissé. Par contre, nous sommes partis cette année pour la même durée, mais au Cambodge, pour notre première expérience en Asie le ressenti n’a pas du tout été le même. La durée m’a semblé insignifiante, insuffisante pour pouvoir prendre mes repères, approcher la culture asiatique et les mœurs locales. Pourquoi une si grande différence de vécu ? Au-delà de la différence de continent qui à aussi sa place dans ce vécu, je dirais que cela est principalement dû à l’expérience. J’étais déjà venue au Pérou, je m’y sens un peu comme chez moi j’ai des repères linguistiques, culturels, géographiques…, ce dont je manque complètement en Asie. Cette première expérience asiatique me laisse donc un goût de trop peu. À croire que pour découvrir un nouveau continent, rien ne vaut l’expérience d’un voyage au long cours de plusieurs mois. À chacun ses voyages ! Quel que soit le mode de voyage choisi, chacun à ses avantages et inconvénients. Être pro-voyage long cours ou pro-citytrip n’a pas de sens à mes yeux les deux permettent des expériences très différentes et s’adaptent aux possibilités de vie et d’évasion de chacun. Et vous, avez-vous déjà pu expérimenter ces deux styles de voyage ? Quel est votre vécu ?
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