ThisContrôleurs et joysticks item by ProDeskSim has 4 favorites from Etsy shoppers. Ships from Etats-Unis. Listed on 21 août 2022
L’abeille domestique comme sentinelle de l’environnement ? Ce concept semble connaître une certaine notoriété ! Mais qu’en est-il vraiment ? L’abeille domestique est-elle comparable aux abeilles sauvages ? Subit-elle les mêmes pressions ? Et plus indirectement, agir en sa faveur, est-ce agir également pour les abeilles sauvages ? Nous allons tenter d’y répondre !Abeille domestique et surmortalitéLa surmortalité de l’abeille domestique a été fortement médiatisée, notamment en lien avec le syndrome d’effondrement des domestique est effectivement soumise à de nombreuses pressions environnementales en commun avec de nombreuses abeilles sauvages, qui peuvent être par exemple un manque de ressources ex disponibilité en pollen et en nectar associée notamment à l’intensification de l’agriculture, une pollution ex application d’insecticides dans un champ cultivé, avec de possibles pollutions sur le long terme comme dans le cas des néonicotinoïdes[1], les changements climatiques ou encore l’introduction d’une espèce invasive par exemple, le frelon asiatique. De plus, la mortalité au sein des ruchers, qui atteint en Europe en une moyenne de 14,5% pour la période 2018-2019[2], est également liée aux pratiques apicoles ex traitements acaricides contre le varroa, nourrissement et au niveau d’expérience des apiculteurs qui influencent directement l’état de santé des colonies[3].A la différence de la plupart des espèces d’abeilles sauvages, les populations gérées d’abeille domestique sont bien suivies par les gouvernements et les apiculteurs. Il en résulte qu’en plus d’être considérée culturellement comme un emblème des pollinisateurs, l’abeille domestique pourrait éventuellement servir d’espèce indicatrice dans le domaine de la conservation. Ainsi, l’on pourrait évaluer les pressions subies par les abeilles sauvages ainsi que les zones où des actions de conservation sont prioritaires en évaluant les pressions subies par la seule abeille cette utilisation de l’abeille domestique comme moyen de détection des zones de déclin des abeilles sauvages pourrait avoir une utilité limitée. Et pour cause en comparant le nombre d’espèces d’abeilles considérées comme menacées au sein des listes rouges de différents pays Européens, et le niveau de mortalité des colonies d’abeilles domestiques dans ces mêmes pays, des chercheurs ont montré une absence de corrélation entre ces deux tendances[4]. Il en résulte que l’état des populations de l’abeille domestique n’est pas une bonne approximation du niveau de déclin des abeilles comment expliquer cette absence de relation ?Une histoire de traits L’abeille domestique, une espèce… parmi 2000 !L’abeille domestique correspond en Europe à une espèce d’abeilles Apis mellifera. Elle appartient aux Antophila les abeilles au sens large qui comporte plus de 900 espèces en France, et environ 2000 en Europe. Mais au-delà des abeilles, l’abeille domestique est une espèce de pollinisateurs parmi les milliers d’espèces de pollinisateurs répartis en plusieurs ordres les principaux étant les Hyménoptères qui incluent les guêpes » et les abeilles, les Lépidoptères, les Diptères et les Coléoptères[5]. Cependant, au-delà du concept d’espèce, les caractéristiques ou traits de l’abeille domestique peuvent expliquer l’absence de relation précédemment évoquée. En plus d’être une espèce parmi tant d’autres, l’abeille domestique a une combinaison de caractéristiques qui lui est propre, et qui influe fortement sur sa réponse aux pressions environnementales[6]. Ainsi, l’abeille domestique est notamment une espèce Sociale elle vit en colonie alors que la grande majorité des abeilles sauvages sont solitaires, bien qu’il existe des espèces sociales chez les abeilles ex bourdons, certaines espèces d’Halictidae. Cette caractéristique influence probablement son niveau d’exposition aux pesticides, qui pourrait être tamponnée par la vie sociale Généraliste elle est capable de collecter du pollen et du nectar sur un large éventail d’espèces de plantes. Cela les rend moins vulnérable par rapport à des espèces spécialistes, qui dépendent d’une espèce de plantes ou d’un ensemble d’espèces appartenant au même genre ou à la même famille botanique Et surtout domestique Elle vit dans une ruche à l’exception des rares colonies sauvages qui subsistent en France[7] à la différence des autres abeilles qui doivent disposer de sites de nidifications. De plus, les pratiques apicoles influencent fortement en bien ou en mal, par exemple le niveau d’expériences de l’apiculteur l’état de santé des colonies elles peuvent être traitées contre les maladies et les organismes nuisibles comme l’acarien Varroa destructor; elles peuvent être nourries pour stimuler la ponte ou assurer un apport calorique même en période de disette. Ces pratiques apicoles limitent donc la similarité des réponses entre l’abeille domestique et les abeilles domestiques… Abeilles sauvages nos recommandations pour mieux les connaître et les protégerMalgré des pressions environnementales communes entre elles, il est nécessaire de ne pas considérer l’abeille domestique comme représentative des autres abeilles sauvages. Cette distinction est essentielle, et doit s’opérer tant dans les champs de la recherche que de la conservation. Nos recommandations sont donc les suivantes Les abeilles sauvages doivent continuer à être étudiés et suivies afin de mieux évaluer leur niveau de menace et leurs besoins spécifiques. L’état de leurs populations est aujourd’hui très mal évalué, bien qu’étant un enjeu de conservation important[8] il n’existe toujours pas de liste rouge nationale française pour les abeilles sauvages. Les mesures de conservation doivent prendre en compte la diversité des abeilles sauvages ainsi que leurs besoins spécifiques pour adapter leurs mesures et actions. Cela implique notamment de prendre conscience que la plupart des abeilles sauvages nichent dans le sol elles sont dites terricoles et représentent environ 75% des espèces[9] elles ont donc besoin de larges surfaces de sol non imperméabilisés par du béton ou un tassement trop important. Il est également nécessaire de maximiser la diversité des plantes lors de la création ou de la restauration de milieu, en introduisant des espèces à floraison étalée dans le temps, et présentant une grande diversité de caractéristiques florales avec un effet potentiellement positif sur le nombre d’interactions entre plantes et pollinisateurs[10]. Des questions, des remarques sur les pollinisateurs sauvages ?Contactez-nous ! jgoulnik Fabrice Requier et al., The Conservation of Native Honey Bees Is Crucial », Trends in Ecology & Evolution 34, no 9 septembre 2019 789‑98, P. Westrich, Habitat requirements of central European bees and the problems of partial habitats », Linnean Society Symposium Series 18 1996 1‑16.[3] Jérémie Goulnik et al., Floral Trait Functional Diversity Is Related to Soil Characteristics and Positively Influences Pollination Function in Semi-Natural Grasslands », Agriculture, Ecosystems & Environment 301 octobre 2020 107033, S. Gadoum et Roux-Fouillet, Plan national d’actions France Terre de pollini- sateurs » pour la préservation des abeilles et des insectes pollinisateurs sauvages » Office Pour les Insectes et leur Environnement – Ministère de l’Écologie, du Développement Durable et de l’Énergie, 2016.[5] Wood et al., Managed Honey Bees as a Radar for Wild Bee Decline? »[6] Fabrice Requier et al., Contribution of European Forests to Safeguard Wild Honeybee Populations », Conservation Letters 13, no 2 mars 2020, T. J. Wood et al., Managed Honey Bees as a Radar for Wild Bee Decline? », Apidologie, 17 juillet 2020, Dimitry Wintermantel et al., Neonicotinoid-Induced Mortality Risk for Bees Foraging on Oilseed Rape Nectar Persists despite EU Moratorium », Science of The Total Environment 704 février 2020 135400, Alison Gray et al., Honey Bee Colony Winter Loss Rates for 35 Countries Participating in the COLOSS Survey for Winter 2018–2019, and the Effects of a New Queen on the Risk of Colony Winter Loss », Journal of Apicultural Research, 11 août 2020, 1‑8, Giorgio Sperandio et al., Beekeeping and Honey Bee Colony Health A Review and Conceptualization of Beekeeping Management Practices Implemented in Europe », Science of The Total Environment 696 décembre 2019 133795,
Àquoi ressemble un nid de frelons à l'intérieur. La structure interne est drôle, réfléchie, étonnante. Les nids d'abeilles sont placés verticalement avec des sols À quoi ressemble une abeille ? Comment se développe-t-elle et qu'est-ce que les abeilles mellifères ont de si spécial ? De l'abeille miniature à l'abeille géante Les abeilles sont une espèce très diversifiée, dont on dénombre actuellement quelque 25 000 races, mais il en reste encore probablement un grand nombre à découvrir. Même si elles présentent beaucoup de similitudes, il existe des différences considérables entre elles. L'abeille la plus petite, surnommée perdita minima, ne mesure que 2 mm de long, et la plus grande, l'abeille de Wallace megachile pluto peut atteindre 7 cm. L'immense majorité des abeilles, dont l'abeille maçonne ou osmie, vivent en solitaire. Cela ne signifie pas pour autant qu'elles peuvent ou veulent vivre à l'écart de leurs congénères. Elles construisent souvent leur nid à proximité les unes des autres par mesure de sécurité un groupe d'abeilles est toujours plus impressionnant qu'un individu seul. Parmi toutes les races d'abeilles, seules sept fabriquent du miel propre à la consommation humaine. Seules deux de ces espèces sont domestiquées et élevées par des apiculteurs, l'abeille mellifère apis mellifera et l'abeille mellifère asiatique apis cerana. LES ABEILLES ET LE MIEL Les abeilles sont une espèce très diversifiée, dont on dénombre actuellement quelque 25 000 races, mais il en reste encore probablement un grand nombre à découvrir. Même si elles présentent beaucoup de similitudes, il existe des différences considérables entre elles. L'abeille la plus petite, surnommée perdita minima, ne mesure que 2 mm de long, et la plus grande, l'abeille de Wallace megachile pluto peut atteindre 7 cm. L'immense majorité des abeilles, dont l'abeille maçonne ou osmie, vivent en solitaire. Cela ne signifie pas pour autant qu'elles peuvent ou veulent vivre à l'écart de leurs congénères. Elles construisent souvent leur nid à proximité les unes des autres par mesure de sécurité un groupe d'abeilles est toujours plus impressionnant qu'un individu seul. BON À SAVOIRParmi toutes les races d'abeilles, seules sept fabriquent du miel propre à la consommation humaine. Seules deux de ces espèces sont domestiquées et élevées par des apiculteurs, l'abeille mellifère apis mellifera et l'abeille mellifère asiatique apis cerana. LES ABEILLES ET LE MIEL Cliquez sur la partie du corps que vous souhaitez observer et recevez plus d'informations. Les ailes Les abeilles ont deux paires d'ailes reliées entre elles, qui se meuvent donc simultanément et qui peuvent atteindre 250 battements par seconde. Elles peuvent ainsi voler jusqu'à 25 km/h. Quelles sont les différences entre les ouvrières,les bourdons et la reine ? La reine naît au bout de 16 jours, d'un œuf fécondé qui a reçu une nourriture et des soins particuliers. La reine est deux fois plus lourde qu'une ouvrière, sa taille est environ celle des faux bourdons. La reine émet des phéromones qui signalent à la colonie qu'elle est en bonne santé. Plus la reine est vieille et s'est reproduite, plus l'arrière de son corps est développé. La reine est munie d'un dard sans crochet, à la différence des ouvrières. Elle ne l'utilise que pour tuer une reine rivale. L'ouvrière naît en 21 jours d'un œuf fécondé. L'appareil buccal des ouvrières, en forme de cuillère, est beaucoup plus long car elles seules récoltent le nectar. Les ovaires des ouvrières sont inactifs en raison de la présence de la reine. Le faux bourdon naît au bout de 24 jours, d'un œuf non fécondé. Ses énormes yeux à facettes lui permettent de voir la reine même de très loin. Les faux bourdons ont des ailes plus grandes et un corps carré. Outre ses fonctions de reproducteur, le faux bourdon contribue au maintien de la température dans la ruche. La plupart des faux bourdons meurent pendant l'hiver, lorsque la nourriture se fait rare. De l'œuf à l'abeille, comment se passe le développement ? La reproduction des abeilles est très différente de celle des humains. Les abeilles mellifères vivent, contrairement aux abeilles solitaires, dans des colonies eusociales, ce qui signifie que seule la reine pourra se reproduire. Et ce même si les autres abeilles femelles - les ouvrières - ont la possibilité de le faire C'est aussi la reine qui décide si un œuf donnera naissance à un mâle, une ouvrière ou une nouvelle reine. En revanche, elle ne s'occupe absolument pas d'élever sa progéniture et laisse cette tâche aux ouvrières. Le cycle de la reproduction reproduction de masse Tout comme un hôpital, la ruche dispose d'une maternité, un espace séparé dans lequel se développent les nouvelles abeilles, à partir de l'œuf. En pleine saison, une reine peut pondre jusqu'à 2 000 œufs par jour. En pondant sans arrêt, elle assure le renouvellement des âges dans sa colonie. La reine place l'arrière de son corps dans une cellule à couvain et pond un œuf. Celui-ci éclot au bout de trois jours environ. Durant les 24 heures qui suivent, la larve mue quatre fois, se débarrassant de son squelette externe. Elle peut ainsi se développer. Les nourrices alimentent les larves, qui grossissent très rapidement. La cellule est operculée, puis la larve tisse un cocon et se transforme en nymphe. Celle-ci commence à ressembler à une abeille, des parties de son corps deviennent identifiables, comme les pattes et les yeux. La nymphe se met à changer de couleur les yeux deviennent d'abord plus sombres et violets, puis le reste du corps suit, d'abord l'arrière, puis les pattes, les ailes et les antennes. L'abeille adulte sort et se met au travail. Miniou micro-structure, c'est beaucoup plus joli à l'oeil parce que plus fin, de loin çà ressemble même à un inox lisse, c'est assez facile d'entretien, en revanche c'est plus sensible à la rayure que le nid Après une ou des piqûres de guêpe, frelon, abeille ou bourdon, il est important de reconnaître les situations nécessitant une hospitalisation urgente. Dans les autres cas, des gestes simples permettent de soulager la réaction locale autour de la piqûre. Quelle réaction après une piqûre d'abeille, de guêpe, de frelon ou de bourdon ? Les guêpes, abeilles, frelons et bourdons sont des insectes appelés hyménoptères, qui ont la particularité de piquer grâce à un dard ou un aiguillon inoculant ainsi un venin toxique. Les hyménoptères ne sont pas naturellement agressifs. Les abeilles ne piquent que pour se défendre lorsqu'elles se sentent menacées. Les guêpes et les frelons ont un comportement plus offensif lorsqu'ils cherchent leur nourriture ou s'ils sont dérangés près de leur nid. Les bourdons sont paisibles et essentiellement présents dans les exploitations agricoles ; ils piquent rarement. Les hyménoptères mâles ne possèdent pas d'appareils de défense dard ou aiguillon et glande à venin. Ce qui expliquent que seuls les hyménoptères femelles piquent. Lors de la piqûre, les hyménoptères injectent leur venin en plantant leur aiguillon ou dard. L'inoculation du venin a lieu sous la peau, dans une bouche par exemple, ou dans un tissu conjonctif œil par exemple. Trois types de réactions sont possibles après une ou des piqûres d'hyménoptères. Le plus souvent, la piqûre n'entraîne qu'une douleur locale, un gonflement, une rougeur œdème et parfois une légère induration autour de la zone piquée. Des démangeaisons prurit sont possibles. La réaction disparaît en quelques heures. La réaction locale est souvent plus importante en cas de piqûre de frelon qui possède un dard long lui permettant d'injecter le venin directement dans un vaisseau. Une piqûre au niveau du visage paupières, lèvres… ou du cou, dans la bouche ou dans la gorge peut rapidement entraîner un œdème volumineux. Ce gonflement peut provoquer une difficulté respiratoire. Dans les cas les plus graves, il existe un risque vital. Un grand nombre de piqûres de guêpes, abeilles, bourdons ou frelons au-delà de 20 chez l'adulte mais seulement 4 ou 5 chez un enfant entraîne l'injection d'une quantité importante de venin. Plus les piqûres sont nombreuses, plus les symptômes risquent d'être importants. La réaction locale est intense et a tendance à s'étendre. Des symptômes généraux apparaissent fatigue, vomissements, diarrhée, maux de tête, vertiges voire malaise pouvant aller jusqu'à la perte de connaissance. Il s'agit d'une urgence vitale et il faut alors réagir très vite. La réaction allergique ne dépend pas de la quantité de venin injectée. Une piqûre unique de guêpe, d'abeille, de bourdon ou de frelon peut avoir des conséquences dramatiques chez une personne déjà sensibilisée qui a déjà eu une piqûre du même insecte et a développé une allergie. Chez les personnes allergiques, il existe une réaction importante à l'endroit de la piqûre le gonflement dépasse 10 cm et peut atteindre une ou deux articulations avoisinantes qui apparaissent également gonflées. Une réaction générale urticaire généralisée, angiœdème, difficultés respiratoires, chute de tension artérielle, malaise... est possible, la plus grave étant le qui est une urgence vitale. Appelez immédiatement le 15 ou le 112 depuis un téléphone fixe ou un téléphone mobile même bloqué ou sans crédit appel gratuit. Comment différencier abeilles, guêpes, frelons et bourdons ? La guêpe a une robe rayée jaune vif et noir. Sa taille est fine d'où l'expression "avoir une taille de guêpe". Au repos, ses ailes sont pliées dans le sens de la longueur. Les guêpes sont attirées par le sucre et la viande. Les guêpes femelles possèdent un dard et peuvent piquer plusieurs fois. Elles ne laissent pas leur dard dans la peau. Le frelon, proche de la guêpe, mais beaucoup plus gros, peut piquer plusieurs fois car, comme la guêpe, il ne laisse pas son dard dans la peau. L'abeille a une couleur et une pilosité qui varient selon la race. Elle peut avoir un aspect noir, gris ou avec des bandes colorées. Son corps est plus volumineux. Elle vit en groupe. L'abeille a un dard barbelé, ne pique qu'une seule fois car elle laisse en place dans la peau le dard et la glande à venin. Une partie de son ventre est arraché avec le dard, si bien que l'abeille meurt après la piqûre. Le bourdon, plus volumineux et velu que l'abeille, vole en faisant du bruit, pique rarement et dans ce cas, ne laisse pas son dard. Piqûre de guêpe, abeille, frelon ou bourdon les situations d'urgence Appelez immédiatement le Samu en composant le 15 ou le 112 depuis un téléphone fixe ou un téléphone mobile même bloqué ou sans crédit dans les cas suivants piqûre dans la bouche ou dans la gorge avec difficultés à respirer. Donnez un glaçon à sucer, si vous en avez à disposition, pour faire diminuer l'œdème et consultez en urgence ; piqûres multiples au-delà de 20 chez l'adulte mais seulement 4 ou 5 chez un enfant en raison du risque toxique du venin ; allergie au venin de guêpes, d'abeilles, de frelons ou de bourdons se traduisant par l'apparition d'un ou plusieurs symptômes suivants une difficulté pour respirer ou avaler, un gonflement de la langue, des lèvres, de la gorge ou des yeux, des étourdissements, un malaise ou une perte de connaissance, des nausées, des vomissements, une diarrhée, une éruption cutanée urticaire généralisée avec des démangeaisons, une coloration bleutée de la peau ou une pâleur, une fièvre ou des frissons. Allongez la personne en position latérale de sécurité en attendant les secours. Si la personne est allergique au venin d'hyménoptère et possède sur elle la trousse d'urgence contenant un stylo d'adrénaline auto-injectable, utilisez ce stylo. En pratique, vous positionnez le stylo auto-injecteur sur le bord extérieur de la cuisse et vous maintenez une pression sur le bouton déclencheur pendant dix secondes. Après une injection d'adrénaline, une surveillance médicale est nécessaire. Position latérale de sécurité Appels d’urgence mode d’emploi Composez le 15 ou le 112 depuis un téléphone fixe ou mobile même bloqué ou sans crédit appel gratuit. Lorsque vous parlez soyez calme et clair ; donnez votre numéro de téléphone, votre nom et celui de la personne concernée ; indiquez le lieu et l'adresse exacte, l'étage et le code d'accès éventuel ; décrivez le plus précisément possible les signes qui vous ont alerté ; ne raccrochez pas avant que votre interlocuteur ne vous le demande. Que faire, en dehors de toute urgence, après une piqûre de guêpe, abeille, frelon ou bourdon ? Dans tous les cas de piqûre de guêpe, abeille, frelon ou bourdon même en cas de piqûre sans gravité, essayez d'identifier l'insecte en cause ; ôtez vos bagues en cas de piqûre à la main ; désinfectez la piqûre avec de l’eau et du savon, puis appliquez une solution antiseptique ; appliquez sur la zone piquée de la glace enveloppée dans un tissu pour ne pas brûler la peau ; prenez un antalgique paracétamol en cas de douleur ; vérifiez si vous êtes à jour pour votre vaccination contre le tétanos ; cessez toute activité physique et restez tranquille pendant 30 minutes ; les symptômes doivent s'atténuer progressivement. En l'absence d'aggravation, reprenez vos activités ; en cas de gêne de type démangeaison avec rougeur dans les 24 heures, même sans terrain allergique, vous pouvez appliquer une pommade antihistaminique à condition que l’aiguillon ou le dard ait été retiré, et que la piqûre ait été correctement désinfectée ; consultez si la zone piquée reste très rouge, enflée et douloureuse après 24 heures. S'il s'agit d'une infection au point de piqûre, le médecin la traitera. Si les démangeaisons sont importantes, il peut aussi vous prescrire des par voie orale pendant quelques jours pour vous soulager. En cas de piqûre d'abeille Contrairement aux guêpes et frelons qui possèdent un aiguillon lisse leur permettant de piquer plusieurs fois, les abeilles ont la particularité d’avoir un aiguillon dentelé qui ne peut ressortir de la peau après la piqûre. Elles ne piquent donc qu'une seule fois, laissant dans la peau leur dard et leur glande à venin et meurent. C'est pourquoi, le venin continue d'être injecté pendant plusieurs minutes après la piqûre. Suivez quelques conseils Retirez le plus rapidement possible et avec précaution le dard de l'abeille par grattage avec l’ongle ou avec le bord non tranchant d’un couteau en glissant parallèlement à la surface de la peau ou d’une carte de crédit. N’utilisez pas de pince à épiler, la glande à venin comprimée pourrait éclater et libérer encore plus de venin dans la plaie. Désinfectez minutieusement. Quelles sont les règles de prudence en cas d'allergie au venin d'hyménoptère ? Si vous êtes allergique au venin des hyménoptères abeilles, frelons, guêpes, bourdons, informez-vous sur les risques encourus. En effet après une première réaction, vous pouvez, lors d'une piqûre ultérieure, présenter une réaction allergique majeure, la forme la plus grave étant le . Consultez un médecin allergologue, un bilan peut être nécessaire. Voici les précautions à prendre si vous êtes allergique aux hyménoptères prévenez vos proches en leur expliquant la marche à suivre en cas de piqûre, soyez toujours en possession de la trousse d'urgence prescrite par votre médecin. Cette trousse contient un stylo d'adrénaline auto-injectable. Apprenez vous-même, ainsi que votre entourage, à reconnaître les premiers signes d’un malaise et à manipuler le stylo, à l'aide d'un stylo d'entraînement. Comment éviter les piqûres de guêpes, abeilles, frelons et bourdons ? Voici quelques conseils pour éviter les piqûres d'hyménoptères portez des vêtements couvrants de couleurs claires et évitez les parfums, les crèmes solaires odorantes, etc. ; évitez de rester près de plantes à fruits, de ruches ou de nids d’insectes, de corbeilles de fruits, de restes de nourriture, etc. ; prenez garde à la présence de guêpes lorsque vous mangez, évitez par exemple de boire à l’extérieur des boissons en canette, etc. ; en présence des insectes, évitez les mouvements brusques. Restez calme. Si le danger est plus manifeste mettez-vous à l'abri ou protégez-vous la tête avec vos mains. Rappelez-vous que les abeilles ne piquent que lorsqu’elles se sentent agressées ; évitez de marcher pieds nus ou en sandales dans la nature en particulier près d’un point d'eau ou dans l’herbe ; si vous vivez à la campagne faites retirer les nids d’abeilles, de guêpes ou de frelons près de votre habitation ; si une abeille ou une guêpe entre dans votre véhicule, arrêtez-vous calmement et ouvrez les fenêtres ; si vous êtes apiculteur, portez systématiquement la combinaison, le chapeau, le voile et les gants adaptés. N° d’Urgence Médicale Samu 15 Pompiers 18 Appel d'urgence européen 112 Ces numéros sont gratuits et peuvent être appelés d'un téléphone fixe ou d'un téléphone mobile même bloqué ou sans crédit. Centre hospitalier universitaire vaudois. Allergie aux venins d’hyménoptères. Site internet CHUV. Lausanne Confédération helvétique ; 2019 [consulté le 3 mars 2021] Ministère des solidarités et de la santé. Pendant l’été, gare aux piqûres et aux morsures. Site internet Ministère des solidarités et de la santé. Paris ; 2021 [consulté le 3 mars 2021] Centre antipoison. Piqûre de guêpe, d'abeille, de frelon et de bourdon. Site internet centre antipoison Belge. Bruxelles ; 2021 [consulté le 3 mars 2021] Centre hospitalier régional universitaire de Lille. Appels pour piqûres d'hyménoptères au CAP de Lille de 2000 à 2009. Site internet CHRU Lille. Lille France ; 2010 [consulté le 3 mars 2021] Le paracétamol en bref Bien utiliser les médicaments contre la douleur ou antalgiques Pourquoi utiliser des médicaments génériques ? xMGKp05. 225 248 444 76 16 34 176 127 93